La pratique du Harlem Shake rendrait stérile
Paris – Alors que se multiplient sur la toile les vidéos de Harlem Shake, une étude médicale tire le signal d’alarme pour informer des risques encourus par les participants si ces derniers souhaitent un jour donner naissance à des enfants.
C’est l’éminent professeur Jean-Etienne Rougery qui, le premier, s’est penché sur les effets possibles des Harlem Shake sur la fonction reproductive des hommes et des femmes s’adonnant à cette pratique récréative.
Une pratique que l’on croyait née sur Youtube
Un Harlem Shake est une vidéo présentant un groupe de personnes dont une seule, dans un premier temps, danse frénétiquement coiffé d’un casque de moto tandis que le reste des participants reste impassible. Dans un second temps, l’ensemble des participants dans également de manière absurde en se secouant fortement.
Mais, ce que les jeunes amis à l’origine de la première vidéo de Harlem Shake ne savaient pas, c’est que cette danse absurde puisait ses origines dans des rites tribaux pratiqués sur les terres reculées de Papouasie centrale. En effet, les papous avaient très tôt remarqué les effets d’une danse épileptico-absurde pratiquée à chaque retour de chasse quand celle-ci avait été fructueuse. Un proverbe papou dit d’ailleurs à ce sujet : Pto-kolèoq ani pekté, nulk ta pkanié touc touc que l’on peut traduire par Si trop secoué, y’a plus bébé.
Une bombe sanitaire à retardement
Le professeur Jean-Etienne Rougery, auteur d’une étude commandée par le ministère de la santé sur les effets du Harlem Shake, explique en détail ce que les papous avaient découvert sans le savoir « En se secouant de la sorte sur une durée de plusieurs dizaines de secondes, les hommes se déclenchent involontairement un BBO -Bollocks Burn Out- tandis que les femmes amorcent le processus bien connu de l’Ovarian Upside Down qui, si le Harlem Shake est pratiqué 3 fois de suite, peut conduire à une auto-stérilisation irréversible».
Trois fois successives seulement. Quand on sait que la plupart des Harlem Shake nécessitent plusieurs prises, cette information fait froid dans le dos.
D’après les estimations du professeur Rougery, 43% des participants aux récents Harlem Shake devraient rencontrer de sérieux troubles du système reproductif dans les prochaines années. « A terme, c’est une véritable catastrophe démographique qui nous pend au nez. Il faut absolument que les pouvoirs publics interdisent sans attendre toute pratique du Harlem Shake ! »
Il faut néanmoins pondérer ces informations en tenant compte d’une autre étude, menée cette fois-ci par une équipe du Massachusetts General Hospital, dont les conclusions imputent au caractère ridicule du Harlem Shake le fait que les hommes et les femmes connaissent une baisse de libido prolongée.
Attendons donc de voir comment réagira le ministère de la santé avant de ranger dans nos placards nos costumes de lapins roses.
La rédaction
Photo credit : YouTube, TheSunnyCoastSkate
Personne dans cet article ne mentionne le slow qui est aussi très dangereux car selon un proverbe papou très connu : « makapé sili koué, motoké sili bouzé » ( qui danse lentement, va trop doucement) ?????
C’est pourtant très important de signaler qu’il y a un réel danger de voir baisser nos facultés psychomotrices après chaque slow !!!!
Les médias nous informent vraiment de ce qui les arrange, c’est dingue et honteux ! ……
Ils ne comptent pas en faire un les anges de la téléréalités par hasard? Ils rendraient service a l’humanité!!! lol